Le Vendée Globe et la voile vous attirent, nous vous embarquons !
Après plus de 80 jours de course autour du monde :
Les témoignages de skippeurs sportifs de haut niveau
Yannick Bestaven, vainqueur du Vendée Globe 2020 sur Maître Coq
« La clé, c’est peut-être une bonne préparation en amont, être bien entouré. Je suis parti très serein. Je savais ce que cela représentait de faire le tour du monde en solitaire, que c’était dangereux et risqué. Je suis parti sans stress dans les meilleures conditions. La semaine avant le départ, j’ai bien décompressé, j’étais zen. Mon partenaire ne m’a jamais mis la pression”. .
Charlie Dalin, second du Vendée Globe 2020 sur Apivia
« Le groupe Macif compte pas mal de réussite sur le Vendée Globe. A la base, c’est une histoire de confiance, une confiance qu’ils m’ont donné. Ils ont cru en moi, alors que je n’avais jamais fait d’IMOCA avant. C’était un projet ambitieux, avec un bateau neuf, sur un programme de 4 ans. Je suis fier de leur avoir donné raison, qu’ils ont eu raison d’avoir confiance en moi. Et ça montre aussi qu’il est possible d’être le premier sur la ligne lors de son premier Vendée Globe.”
Thomas Ruyant, 6ème du Vendée Globe 2020 sur Linkedout
« Je suis très fier de mon équipe, très fier d’avoir réussi à monter un projet comme ça avec le pdg d’Advens, un projet qui est un peu en décalage par rapport à ce que l’on connaît dans le monde du sport. J’espère que cette cause fera des émules. Je suis convaincu que le monde de l’entreprise et le monde associatif peuvent faire de belles choses. On est un sport médiatique, il faut s’en servir, c’est ce que l’on a fait. C’est une réussite sportive mais pas seulement. C’est aussi ça qui me fait vibrer. Je suis le pilote d’une belle machine mais pas que.”
Boris Hermann, 5ème du Vendée Globe 2020 sur Seaexplorer - Yacht Club de Monaco
« C’était un travail d’équipe et j’ai hâte de célébrer ça avec eux. La préparation du bateau, tout autour de la course, la mission avec la science et l’éducation. C’est bien d’avoir tous ces gens ici maintenant réunis. C’est le meilleur moment de la course..”
Benjamin Dutreux, 9ème du Vendée Globe 2020 sur OMIA - Water Family
« C’est déjà un beau challenge d’être au départ, mais quitte à être au départ, autant être à l’arrivée. C’est vraiment un travail d’équipe. Quand je parle de l’équipe, j’inclus aussi la famille et nos partenaires. Ce qui sont des PME à taille humaine, tout comme notre équipe. Nous sommes une grande famille, on est allés au bout de ce grand défi. On prouve qu’on est capables de grandes choses quand on unit les forces.”
Les témoignages de ceux qui les soutiennent
Jean-Jacques Laurent, Président de PRB
« Quand nous passons la ligne de départ, l’investissement doit être amorti ! Tout ce qu’il y a après la ligne de départ en communication et en retombées médiatiques ne doit être que du plus pour l’image de l’entreprise »
« sur les 15 % de hausse de chiffre d’affaires, 5 % découlaient du Vendée Globe »
Si Jean-Jacques Laurent ne communique pas les montants dépensés pour accueillir ses clients au village, il révèle dépenser 500 000 € par an pour la voile et 1,5 million d’euros pour chaque année du Vendée Globe. Cette semaine, le patron de 500 salariés déclarait que des co-partenaires se sont manifestés pour lancer un nouveau bateau avec PRB
Jean-Pierre Derouet, gérant de l'enseigne V and B
« Je ne mesure pas les retombées financières, je mise sur l’affectif »
« L’enseigne V and B et le département de la Mayenne réfléchissent déjà à la suite »
« On voit surtout la résonance d’une belle histoire, ça ne se mesure pas. On partage les mêmes valeurs, le Vendée Globe avec lui c’est une aventure sociale, sportive et économique. Une aventure qui n’est pas près de s’arrêter : Maxime fait partie de la famille, il est là sur toutes les grandes réunions, et les franchisés l’adorent »
« Cela fait 6 ans que nous accompagnons Maxime Sorel dans son aventure de skipper depuis la Route du Rhum de 2014. Il va lui falloir environ trois mois pour réaliser le prochain Vendée Globe, alors, en parallèle je pars trois mois faire le tour des V & B de France pour le soutenir et venir rassurer les franchisés dans la période de doute que nous traversons »
V & B alloue 600 000 € par an sur deux ans pour la voile.
Sabine Calba, Directrice du développement de Banque Populaire
« On veut montrer que nous sommes une marque capable d’accompagner les jeunes »
« Rien que sur l’avant et pendant la course, c’est 21 millions d’euros de retombées presse, soit 8 millions de plus qu’en 2016 à la même époque. Sans compter, l’immensurable : La mobilisation en interne et l’image auprès de nos clients. »
Banque Populaire sponsorise la voile depuis 32 ans et investit entre 5 et 6,5 millions d’euros par an pour la course
Adrien Peyroles, directeur des opérations de Bureau Vallée
« Pour notre enseigne de fournitures de bureau, l’investissement de 4 millions d’euros sue quatre ans se traduit par des retombées médias, mais aussi par un impact fort en termes d’image auprès de la clientèle. Il n’y a pas 10 minutes dans la journée où des clients ne viennent pas nous parler du bateau. Notre skipper joue un rôle fondamental pour l’image mais aussi pour fédérer en interne »
Dylan Chevallier, chargé de communication du groupe LDC
« Chez LDC, on a respiré Vendée Globe depuis le départ de la course. 1000 salariés ont participé à la course virtuelle et nombre d’entre eux au sein du groupe, en Vendée mais aussi sur les autres sites de LDC, dont les sites Sarthois ont suivi les 80 jours de course. »
« Une visio-conférence a même eu lieu en direct entre la quasi totalité des 200 salariés de l’entreprise et notre skipper »
« Etre en tête du Vendée Globe fait plus de retombées qu’une pub ! »
Jean-Marc Potdevin, fondateur d’Entourage, l’association à l’origine de LinkedOut
« Le sport est un outil qui permet un formidable impact. Les entreprises et le grand public suivent le Vendée Globe : il y avait donc un énorme retentissement potentiel. Le Président de la société Advens a eu un véritable coup de foudre pour le projet LinkedOut et il y a vraiment eu une adhésion de son équipe. Assez naturellement, il a eu ce geste assez incroyable de nous donner le naming du bateau »
Alexandre Fayeul, PDG d'Advens
« Permettre que la performance économique et financière de notre groupe puisse avoir des retombées sociétales, en utilisant le levier du sport.
C’est extrêmement vertueux.
Cela apporte beaucoup plus de valeur à notre projet d’entreprise.
Nous mettons notre compétence au service du bien commun et nous sommes utiles. »
Advens a laissé le naming de son bateau de course à la plateforme solidaire LinkedOut. Et tout le monde y gagne.
L'aventure vous tente ?
- de vous embarquer lors d’une de nos prochaines navigations
- d’embarquer votre marque et vos collaborateurs tout au long d’un championnat de courses et d’un programme d’hospitalités
Contactez-nous !